L’offre actuelle de simulateurs de conduite virtuels est la plus réaliste que nous n’ayons jamais vue et vous pourriez vous retrouver à courir contre un pilote réel, mais vous vous demandez peut-être pourquoi vous devriez y prêter attention alors que vous pourriez être sur la piste pour de vrai ou en tant que spectateur. Pourquoi passer du temps enfermé à l’intérieur alors que vous pourriez acquérir de l’expérience dans le monde réel ?
Son coût
Tout d’abord, examinons le facteur coût. Bien sûr, l’achat de tout l’équipement nécessaire pour faire fonctionner votre propre simulateur peut sembler assez coûteux, surtout si vous envisagez d’acheter du matériel haut de gamme.
D’ailleurs, si vous désirez avoir une idées des meilleurs matériels à avoir pour faire un bon setup simracing, n’hésitez pas vous rendre sur le site du lien que voici https://simracing-generation.fr/. Si l’on considère le coût de la participation à une journée d’essai sur un circuit, le simulateur de course devient une option plus intéressante.
Si vous tenez compte de la quantité de carburant nécessaire pour la journée, cela peut coûter jusqu’à 200 €, en fonction de la soif de votre voiture de course. En revanche, une fois que vous aurez installé votre simulateur à l’endroit de votre choix, les seules dépenses encourues seront la facture d’électricité et si le simulateur de votre choix fonctionne sur la base d’un abonnement.
La sécurité qu’il offre
Comme mentionné dans le point précédent, il est tout à fait possible que quelque chose se passe mal lors des essais sur piste. Oui, cela fait partie de la recherche des limites, mais que se passerait-il si vous pouviez trouver ces limites avant de prendre la piste ?
L’utilisation d’un simulateur de course vous permet de trouver vos limites personnelles et celles de la piste dans un environnement sûr et contrôlé. Si vous mettez un pneu sur l’herbe et finissez par heurter durement les barrières, il suffit de redémarrer et de recommencer ; plutôt que de voir la journée se terminer accompagnée d’une lourde facture de réparation, ou pire, d’un temps de récupération dû à une blessure.