Le 26 octobre 2018, sortait Red Dead Redemption 2, suite du western rockstarien acclamé par la critique et les joueurs. S’en est suivi une avalanche de critiques, pour certaines très (trop ?) enthousiasmantes et d’autres beaucoup plus mitigées. Parmi celles-ci, un point particulier ressortait : l’ennui relatif que pouvait procurer le jeu. Défaut ultime du titre, il lui porterait gravement préjudice. Et si c’était le contraire ?
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